SOFERIM valorise et reconvertit en logements et commerces le patrimoine industriel d’Asnières-sur-Seine

SOFERIM, spécialiste de la valorisation d’immeubles historiques depuis 25 ans, a démarré les travaux d’un ensemble architectural d’exception au 53/55 Grande rue Charles de Gaulle, sur l’ancien site de la Banque de France, un terrain en cœur de ville de 3 800 m2 (Asnières-sur-Seine). Baptisé « Les Jardins Bonaparte », le projet, d’un montant d’environ 57 millions d’euros, accueillera à terme près de 100 logements, 1 000 m2 de commerces et bureaux, et 115 places de parking. La livraison prévisionnelle interviendra au 1er semestre 2015.

Conçu par l’architecte spécialiste du patrimoine Maurice Culot (agence ARCAS PARIS), le programme immobilier, qui doit son nom au créateur de la Banque de France, s’inscrit dans le tissu urbain de la ville d’Asnières, en termes d’alignement, de hauteur et de matériaux.

« Les Jardins Bonaparte » marquent la renaissance d’un site emblématique en plein cœur d’Asnières-sur-Seine, entre la gare et la mairie, avec la réhabilitation de trois bâtiments historiques de style industriel, reconvertis en logements. Construit au début du siècle par l’architecte Alphonse Defrasse, l’immeuble de 7 étages qui abritait les archives de la Banque de France, sera intégralement rénové et transformé en loft à aménager. Les deux bâtiments donnant sur la Grande rue Charles de Gaulle seront préservés et surélevés de deux étages pour abriter des appartements de standing, du studio au 5 pièces.

Quatre bâtiments neufs labellisés BBC Effinergie compléteront à terme cet ensemble résidentiel certifié HQE, situé dans un quartier animé à fort potentiel de plus-value. Véritable trait d’union entre Paris et la Défense, il bénéficiera d’un emplacement attractif pour ses utilisateurs, à proximité des commerces, des services (crèches, écoles, parcs) et des moyens de transport urbain.

« A l’occasion de l’appel d’offres organisé par la Banque de France, nous avons été convaincus par le projet de la société SOFERIM car il nous a semblé être le plus respectueux du site, de son histoire et des prescriptions et attentes de la ville d’Asnières », déclare Marc Morau, Directeur immobilier, BANQUE DE FRANCE.

« Ce projet illustre le savoir-faire de notre entreprise dans la réhabilitation et la valorisation de bâtiments historiques. L’originalité des Jardins Bonaparte repose sur un équilibre à 50/50 entre la préservation du patrimoine architectural existant et la réalisation de logements neufs s’intégrant dans le tissu local. Nous estimons qu’il est de notre devoir de valoriser un bâti de qualité en respectant scrupuleusement son identité d’origine », ajoute Gilles Robin, Directeur général, SOFERIM.

Fermé pendant des années, le site sera désormais ouvert aux riverains pour leur permettre de découvrir son patrimoine architectural et historique, valorisé autour d’un espace paysager de 1 180 m2, soit plus de 30 % de la surface du terrain. La création de commerces et bureaux participera à dynamiser le centre-ville, en réponse aux attentes de la Mairie d’Asnières.

Fin des travaux de reconstruction du mur séparatif avec LA RUCHE

Conformément à son engagement, le promoteur SOFERIM vient de terminer la reconstruction du mur séparatif avec la Fondation LA RUCHE, situé au 6 passage Dantzig à Paris (15e arrondissement).

D’une hauteur de 6 mètres, cet ouvrage vétuste et fragile, ne pouvant être consolidé en l’état, avait dû être démoli en urgence au titre du principe de précaution.

SOFERIM, propriétaire du terrain, est allé encore plus loin qu’une simple reconstruction à l’identique, en utilisant des briques de facture artisanale et de trois teintes différentes, dans un souci d’esthétisme. A la demande de l’architecte des Bâtiments de France, le mur a été construit 60 cm plus haut que l’ancien, afin de garantir encore plus de sécurité et de confidentialité aux résidents de LA RUCHE. Etroitement associés aux travaux effectués, l’architecte des Bâtiments de France et l’architecte de LA RUCHE ont été consultés à chaque étape. Démarrés en août 2013, les travaux ont duré près d’un mois et demi.

Coup d’envoi du futur pôle tertiaire de la Gare de Lyon

Le 26 juin 2013, Jean Papahn, Président de SOFERIM, a posé la première pierre du TRIO DAUMESNIL, en présence de Christian Sautter, Adjoint au Maire de Paris, chargé de l’emploi, du développement économique et de l’attractivité internationale, de Karen Taïeb, Conseillère de Paris, conseillère d’arrondissement, déléguée auprès de la Maire du 12e, Vanessa Thomas, Adjointe à la Maire, chargée du logement et de la qualité de l’habitat, conseillère d’arrondissement, et de Gérard Tempion, Conseiller d’arrondissement, délégué auprès de la Maire du 12e, chargé du soutien à la création et à la dynamique locale.

Conçu par le Cabinet d’architecte du Besset & Lyon, cet ensemble immobilier tertiaire de 13 000 m2 constitue la première phase d’un futur pôle tertiaire érigé sur les délaissés ferroviaires de la Gare de Lyon. Situé au 43, rue du Charolais, il bénéficiera d’un emplacement attractif pour les entreprises et d’une desserte optimale, entre le quartier de Bercy et le Viaduc des Arts, à deux pas de la Gare de Lyon.

Selon Christian Sautter, Adjoint au Maire de Paris, chargé du développement économique, des finances et de l’emploi : « Même en temps de crise, la demande de bureaux dans Paris reste particulièrement soutenue, avec un taux de vacance très faible. Avec près de 13 000 m2 de bureaux en haute qualité environnementale, ce projet représente une réelle contribution au plan d’urbanisme, dans la ligne stratégique que nous poursuivons depuis plus de dix ans. Il s’inscrit également dans la volonté de construire un morceau de ville dans la ville, combinant logements, bureaux, équipements publics et espaces verts, pour un quartier encore plus vivant et dynamique. »

« SOFERIM est fière de poser la première pierre du futur pôle tertiaire de la Gare de Lyon. Grâce à cet ensemble de bâtiments entièrement domotisés et éco-responsables, plus de 650 personnes pourront profiter d’espaces de travail modernes, à la pointe de l’innovation environnementale. A travers ce projet, SOFERIM confirme son engagement en faveur de l’environnement. Cette opération n’aurait pas été possible sans le concours et les actions de la Mairie du 12ème arrondissement », ajoute Jean Papahn, Président de SOFERIM.

Très en avance par rapport à la règlementation thermique, le TRIO DAUMESNIL mettra la technologie au service de la performance environnementale, afin d’afficher une consommation d’énergie inférieure de 50 % à ce qu’exigent les normes actuelles, soit 65  kWhEp/m2/an. Cette performance énergétique est obtenue grâce à des équipements domotiques de dernière génération, à très haut rendement et à faible consommation, mais aussi grâce à un traitement renforcé de l’isolation et des ponts thermiques, à des vitrages performants aux caractéristiques adaptées.

  • 3 immeubles de bureaux de 13 000 m2 sur 5 niveaux
  • Certification HQE et label BBC-Effinergie®
  • Début des travaux : printemps 2013
  • Livraison : 1er trimestre 2015

SOFERIM confirme son engagement en faveur de la création contemporaine

A l’issue de DRAWING NOW PARIS │le Salon du Dessin Contemporain, le promoteur SOFERIM, en sa qualité de mécène, réaffirme son engagement de plus de 20 ans pour l’Art Contemporain et la promotion de jeunes artistes.

L’artiste Didier Rittener récompensé par le Prix Drawing Now 2013

drawing-Now-2013Partenaire officiel du Salon du Dessin Contemporain depuis sa création en 2007, SOFERIM a décerné le 3ème prix DRAWING NOW à l’artiste suisse Didier Rittener, représenté par la galerie Lange + Pult. Didier Rittener s’est vu remettre, le 10 avril dernier, une dotation de 5 000 euros à travers le Fonds pour le dessin contemporain soutenu par SOFERIM.

Le talent et la créativité de cet artiste présenté en focus sur l’un des stands du Salon, ont été récompensés par un comité de sélection indépendant réuni autour de Philippe Piguet, directeur artistique du Salon, et composé de personnalités du monde de l’art – Alexandra Fau, Christian Bernard, Marc Donnadieu, Olivier Kaeppelin et Bernard Point – accompagnés du collectionneur Nicolas Libert et de Jean Papahn, président de SOFERIM.

« La vocation du Prix Drawing Now, créé en 2011, est de favoriser le développement et le rayonnement du dessin contemporain, tant en France qu’à l’étranger. Nous saluons le travail singulier et très personnel de Didier Rittener, et espérons que ce prix contribuera à la reconnaissance en France de cet artiste qui jouit déjà d’une très forte légitimité en Suisse », précise Christine Phal, Présidente-fondatrice de Drawing Now Paris.

Intégrer l’art contemporain à l’architecture

chantierAu-delà du mécénat, l’engagement de SOFERIM se traduit sur le terrain par sa volonté d’intégrer l’art contemporain à l’architecture dans chacune de ses réalisations immobilières.

De la création d’œuvres d’art originales dans les halls d’immeubles à la présence de bâches d’artistes recouvrant les façades haussmanniennes sur les chantiers de réhabilitation, SOFERIM soutient depuis plus de 20 ans la création contemporaine tout en perpétuant la tradition immobilière parisienne.

L’autorisation de travaux de confortation et de mise en valeur de la carrière de Port-Mahon, délivrée fin décembre 2012 par le Ministère de la Culture, a été définitivement validée par le Tribunal administratif de Paris, mardi 2 avril 2013. La dégradation de ce monument, situé à 17 mètres sous le site du 26, rue de la Tombe-Issoire, va pouvoir être enrayée.

Ce projet présenté par SOFERIM, propriétaire du site depuis 2003, a nécessité du temps et des ajustements pour pouvoir développer des techniques adaptées aux contraintes d’un site classé, qualifié de dangereux par les autorités compétentes, telles que l’Inspection Générale des Carrières.

Aujourd’hui, la carrière de Port-Mahon va pouvoir être consolidée et restaurée dans les règles de l’art, sous le contrôle de l’architecte en chef des Monuments Historiques et de l’INERIS, établissement public placé sous la tutelle du Ministère de l’Ecologie. Les travaux préventifs, enclenchés le 25 mars dernier suite à un affaissement de terrain constaté par l’INERIS, sont toujours en cours.

Des travaux préventifs indispensables suite à un affaissement de terrain

Un affaissement de terrain s’est produit dans la cour du 26, rue de la Tombe-Issoire, au droit du cheminement historique de la carrière de Port-Mahon, située à 17 mètres en sous-sol. Cette situation de danger a été constatée sur place, le 20 mars 2013, par l’INERIS, établissement public placé sous la tutelle du Ministère de l’Ecologie. Des travaux préventifs, conformes à l’autorisation délivrée par le Ministère de la Culture, ont dû être lancés sans tarder, au titre du principe de précaution.

En tant que propriétaire du site, SOFERIM est tenu d’intervenir pour sécuriser les carrières de Port-Mahon qui menacent de s’effondrer par endroits au détriment de la sécurité des avoisinants. Elle répond ainsi à la demande expresse de l’Inspection Générale des Carrières, administration publique chargée de prévenir les risques liés aux anciennes carrières souterraines. 

A compter du 25 mars 2013, des travaux préventifs, validés par le Ministère de la Culture, seront réalisés sous le contrôle de l’architecte en chef des Monuments Historiques et de l’INERIS. Ils consistent en la pose, dans les carrières, d’un appareillage de surveillance géologique par capteurs électroniques. Objectif : suivre l’évolution préoccupante des fissures conduisant au détachement de blocs de calcaire du ciel de carrière. La mise en place de cette instrumentation passe par le décomblement préalable d’un puits d’accès à l’aide d’une mini-grue de levage.

Ces travaux indispensables compte-tenu de l’état de dangerosité des carrières font partie intégrante de l’autorisation qui a été délivrée fin décembre 2012 par la Direction Régionale des Affaires Cultures d’Ile-de-France (DRAC).

13 000 m2 de bureaux basse consommation à l’avant-garde du pôle tertiaire de la Gare de Lyon

SOFERIM, spécialiste de l’immobilier parisien depuis 25 ans, vient de démarrer les travaux d’un ensemble de trois bâtiments intelligents, économes en énergie, situé au 43 rue du Charolais (Paris 12ème). D’un montant de près de 120 millions d’euros, ce projet d’immobilier tertiaire durable constitue la première phase d’un futur pôle tertiaire construit sur les délaissés ferroviaires de la Gare de Lyon, dans un quartier appelé à changer de visage. La livraison prévisionnelle interviendra à la fin du 1er trimestre 2015.

Le Trio Daumesnil est implanté sur un ancien site SNCF de 3 869 m2, acquis en juillet 2012 par SOFERIM auprès de la société Espaces Ferroviaires Aménagement (EFA). Conçu par le Cabinet d’architecte du Besset & Lyon, ce nouvel ensemble immobilier tertiaire offrira 13 000 m2 de bureaux domotisés répartis sur trois immeubles de cinq niveaux pouvant accueillir plus de 650 personnes, et 95 places de parking en sous-sol. Situé entre le quartier de Bercy et le Viaduc des Arts, il bénéficiera d’un emplacement attractif pour les entreprises et d’une desserte optimale, à deux pas de la Gare de Lyon.

Certifié HQE et labellisé BBC Effinergie, cet ensemble de bâtiments éco-responsable, qui conjugue performances thermiques et luminosité naturelle, garantit le bien-être des occupants, tout en limitant leurs dépenses énergétiques. Les charges locatives seront en moyenne 30 % moins élevées que dans un immeuble tertiaire classique. Mail planté d’arbres, venelle rendue à l’espace public et jardins intérieurs feront écho aux Jardins de Reuilly, à la coulée verte de l’avenue Daumesnil et au bois de Vincennes situés à proximité du projet.

Selon Gilles Robin, Directeur général, SOFERIM, « La rareté des terrains disponibles dans Paris intra-muros impose de reconsidérer certains secteurs, en pleine mutation. C’est le cas du 12ème arrondissement qui abrite une des dernières réserves foncières de la capitale, sur les voies ferrées de la Gare de Lyon. Cet emplacement est d’autant plus porteur d’avenir que la zone alentours se caractérise par un patrimoine d’immeubles vieillissant, soumis à des charges de fonctionnement élevées. En parallèle, le marché de l’immobilier tertiaire a été externalisé par des investisseurs institutionnels qui imposent des loyers importants. Avec le Trio Daumesnil, nous offrons la possibilité aux entreprises d’acquérir des locaux accueillants, innovants et performants sur le plan énergétique, et ce à moins de 10 000 euros le m2. Nous avons pris un risque et lancé la construction de cet ensemble immobilier avant même de l’avoir vendu, parce que chez SOFERIM, nous croyons en l’avenir de ce site qui offrira à nos clients de belles perspectives d’investissement. »

Acteur dynamique du marché immobilier tertiaire parisien, SOFERIM met son expertise dans le domaine de la restructuration lourde d’immeubles haussmanniens au service de l’immobilier neuf tertiaire. Le Trio Daumesnil s’inscrit dans la lignée de plusieurs autres projets, notamment le 107 Boétie (2 800 m2, Paris 8ème), la Maison de la Francophonie (8 500 m2, Paris 7ème) et l’Etoile du Nord (18 000 m2, Paris 10ème).